
[align=center]CASM = Certificat d’Aptitude au Sport Motocyclistes[/align]
Le CASM, permet à toute personne de plus de 12 ans, et ne possédant pas de permis de moto (125 ou gros cube), de pratiquer en circuit fermé le sport motocycliste lors de compétitions ou trophées officiel, d’épreuves de masse ou de loisirs ou lors d’entraînement dans les familles de disciplines suivantes : vitesse, motocross, enduro, trial, motoball, course sur piste ; pratiqué sur moto ou quad.
Depuis le 1er septembre 2005, le CASM est également exigé pour la délivrance d’une licence compétition annuelle au nouveau pilote. Pour les mineurs voulant se présenter au CASM une autorisation parentale sera exigée.
Les généralités
[align=center]Est-ce que des sessions sont prévues toute l’année et qui est appelé? :[/align]
Non les cessions sont répartis en début d'année seulement
Voici le calendrier des dates 2007 avec les personnes référentes par régions :
http://www.ffmoto.org/_PAGES/fr_FR/0701 ... r_casm.pdf
[align=center]Combien coûte le CASM ? : [/align]
En moyenne le prix est compris entre 30 et 50 € selon l’endroit où l’on le passe.
[align=center]Combien de temps est-il valable ? :[/align]
Le CASM est valable a vie à la condition de ne pas passer 2 année sans prendre une licence.
[align=center]Avec quelle machine peut on passer le CASM ? [/align]
Contenu que le CASM autorise une pratique sur tout types de moto (cross, vitesse, trial, …) il est obligatoire de passe le CASM avec une machine à vitesse. Il n’est pas nécessaire d’avoir le permis correspondant à la puissance de la moto pour passer le CASM puisque la pratique ce fait sur circuit fermé.
Exemple, un mineur peut parfaitement venir passer le CASM avec une 125 cc, 250 cc, …
Alors en passant le CASM a Niort je me suis rendus compte que beaucoup été venu le passer avec des mobylettes voir mêmes des pockets, (malgrès ce que m'avais dit le responsable) et ils ont ont parfaitement pu le passer.
[align=center]Combien de temps dure le passage du CASM ? : [/align]
Il faut compter une demi journée voir ¾ de la journée suivant l’ordre de passage de la partie pratique et le nombres de participants présents.
[align=center]Quelles pièces jointes faut-il fournir le jour du passage ? :[/align]
Une photo récente avec nom/prénom/date de naissances inscrit au dos de la photo + chèque au montant de la session.
Maintenant voici les éléments a connaître lors de l’épreuve du CASM :
Le CASM se compose de 2 parties :
- une formation théorique
- une formation pratique
FORMATION THEORIQUE
Le candidat devra répondre à 40 questions en 40 minutes. Présentées sous la forme de QCM (questionnaire à choix multiples), les questions pourront être illustrées par la projection de photos. Les QCM peuvent comporter plusieurs bonnes réponses, …
1) Formalité à satisfaire le matin d’une épreuve :
a) Le contrôle administratif :
Le pilote doit présenter :
- la licence en cours de validité
- le CASM ou permis de conduire. Le permis de conduire ainsi que la carte grise et l’attestation d’assurances sont obligatoires pour les épreuves empruntant la voie publique (Trial, Enduro, Rallye routier)
b) Le contrôle technique
L’équipement du pilote et la machine doivent être conformes à la réglementation de la discipline.
La machine :
- freins en bon état de fonctionnement,
- béquille retirée,
- extrémités des guidons bouchées,
- leviers arrondis par des boules,
- récupérateur d’huile,
- retour correct de la poignée de gaz,
- coupe circuit,
- carter de protection de chaînes et de pignon,
- plaque numéro :
- aux dimensions réglementaires,
- couleurs conformes à la catégorie
- publicité interdite sur les plaques numéros
L’équipement du pilote :
- casque homologué,
- bottes,
- gants,
- pantalon et pare-pierres (tout terrain),
- maillot à manches longues (tout terrain),
- cuir et protections dorsales (vitesse, supermotard,…)
2) Le rôle des officiels
L’organisation d’une compétition officielle est confiée à un moto-club. Toute épreuve doit bénéficier d’une autorisation fédérale et préfectorale. Une équipe d’officiels veille au bon déroulement de l’épreuve et à un rôle précis.
a) Le directeur de course :
Il a tout pouvoir pour assurer la bonne gestion de la course et faire appliquer les décisions u jury, à ce titre il :
- peut interdire, à un pilote de prendre le départ pour non-conformité de la machine, suite au rapport du Commissaire technique,
- donne le départ et l’arrivée de la course,
- décide de l’utilisation du drapeau rouge,
- peut à tout moment mettre en place toutes les mesures exceptionnelles de sécurité.
b) Le commissaire sportif : 3 par épreuve
- est chargé de faire appliquer le règlement,
- siège en jury et juges les réclamations,
c) Le commissaire de piste : - est responsable de la signalisation (drapeaux) et de la sécurité sur le circuit
d) Le chronométreur :
- établit les classements de l’épreuve en fonction soit des temps réalisés, soit de l’ordre d’arrivée.
e) Le commissaire technique :
- effectue les contrôles techniques des machines et de l’équipement du pilote avant l’épreuve et les vérifications en cas de réclamation ou sur demande du Directeur de course.
f) Le jury :
Composé d’au moins 3 membres, le jury détient tous les pouvoirs pour :
- contrôler l’application des règles sportives et de sécurité,
- statuer sur les réclamations sportives de la compétition,
- appliquer d’éventuelles sanctions (déclassement de l’épreuve, amendes, …)
- approuver les résultats
3) Les arrêts sur circuits ou terrains
Seul le service de sécurité officiel peut intervenir (commissaires de pistes, secouristes, médecin, safety-car).
En cas d’arrêt sur le circuit (panne, chute), il est strictement interdit de repartir en sens inverse de la piste, que ce soit à moto, en poussant ou à pied.
Si après un arrêt, la moto ne repart pas, il faut la dégager de la piste ou la garer sur le côté
Il est obligatoire de respecter les entrées et les sorties de piste.
4) Déclaration d’accident
- prévenir l’organisateur le jour de l’épreuve,
- prévenir l’assurance de la fédération au moyen du formulaire remis par l’organisateur dans les délais impartis ou par téléphone.
5) Les drapeaux en usages sur les circuits :
[align=center]Dans les disciplines de vitesse [/align]

Drapeaux rouge ou feu rouge : arrêt de la course ou des essais. Le pilote doit rejoindre sont stand à vitesse réduite. Ce drapeau est à disposition du Directeur de course et des chefs de poste et ne peut être présenté que sur ordre du Directeur de course

Noir avec un disque orange (fixe) : le coureur doit quitter la piste le plus rapidement possible. Ce drapeau est à disposition du Directeur de course et des chefs de poste. Il ne peut être présenté que sur ordre du Directeur de course.

Noir accompagné d’un numéro : signal d’arrêt pour le motocycle portant ce numéro. Le pilote doit rentrer aux stands et ne pourra plus repartir.

Jaune (agité) : danger sur cette section, les pilotes doivent ralentir et être prêts à s’arrêter, il est interdit de dépasser sous le drapeau jaune. Lors du tour d’inspection, il doit être présenter par le signaleur à l’endroit où il opèrera pendant la course.

Jaune avec bandes verticales rouges (fixe) : changement d’adhérence. Surface glissante quelle qu’en soit la cause. En cas de chute, si la machine est tombé sur la piste, même si elle a continué sa course dans le bac à graviers, présentation du drapeau jaune à bandes rouges simultanément avec le drapeau jaune, il sera retiré dès que le chef de poste aura vérifié qu’il n’y a pas de changement d’adhérence dû à la chute.

Blanc (agité) : le drapeau doit être présenté quand un véhicule lent emprunte la piste, le dépassement du véhicule lent est autorisé. Le dépassement entre pilotes est interdit.

Rouge avec une croix de Saint André blanche (fixe) : le drapeau doit être présenté quand un safety-car emprunte la piste, le dépassement du safety-car est interdit comme le dépassement entre pilotes.

Bleu (agité) : signal de dépassement. Un coureur plus rapide cherche à vous dépasser, laissez le passage. Ce drapeau est un signal d’information, dont la présentation ou non n’engage pas la responsabilité des commissaires de pistes. Il peut être également présenté simultanément avec le drapeau a damier si le pilote de tête est sur le point de dépasser un pilote attardé lors de l’arrivée de la course, il signale au pilote attardé qu’il a encore un tour à effectué.

Vert (fixe) : la piste est libre de tout danger. Ce drapeau doit être présenté lors du premier tours d’essais, du tour de reconnaissance, du tour de chauffe ainsi qu’au poste suivant un drapeau jaune.

Blanc avec une crois de Saint André rouge (fixe) : il est présenté sur ordre de la direction de course lorsqu’il commence à pleuvoir en un point du circuit, si la pluie s’intensifie il sera accompagné du drapeau jaune a bandes rouges.

National présenté depuis le véhicule de direction de course : fermeture de la piste aux non-compétiteurs.
National (agité) : signal de départ de la course. Lorsqu’un circuit est équipé de feux de départ, le directeur de course doit impérativement les utiliser. Ce n’est qu’en cas de défaillance des feux ou lors d’une épreuves d’endurance que ce drapeau peut être utilisé.

A damiers noirs et blancs (agité) : fin de la course ou des essais
A damiers noirs et blancs présenté depuis le véhicule de direction de course : ouverture de la piste aux non-compétiteurs.
[align=center]Dans les disciplines de motocross [/align]

Drapeau rouge : signal d’interruption d’une course ou d’une séance d’essai.

Noir accompagné d’un numéro (fixe) : pour le concurrent portant ce numéro, signal d’arrêt à son stand au prochain tour.

Noir avec un disque orange accompagné d’un numéro (fixe) : le pilote portant ce numéro doit immédiatement quitter la piste

Jaune (immobile) : danger, ralentir et défense de dépasser. Pour ne pas risquer de lui faire perdre sa signification, l’usage du drapeau jaune immobile ne devra pas excéder le temps nécessaire au dégagement de la route ou de la piste.
Jaune (agité) : danger grave, soyez prêt à stopper. Défense de dépasser. Le drapeau jaune agité est utilisé lorsque l’accident vient de se produire et s’il présente un certain caractère de gravité ou d’encombrement important sur la piste.

Jaune avec bandes verticales rouges (fixe) : utilisé dans les courses mixtes (supermotard). Attention ! Piste glissante, changement d’adhérence.

Blanc : informe les concurrents que des moyens de secours humains ou matériels sont sur la piste. Danger grave, soyez prêt à stopper. Défense de dépasser. Ce drapeau est utilisé pour appeler les secours.

Blanc avec une croix rouge (fixe) supercross : présence d’un blessé ou du personnel d’urgence sur le circuit. Réduire votre vitesse. Les sauts et les whoops doivent être négociés séparément et enroulé jusqu’à la sortie de la zone concernée.

Bleu (immobile) : un concurrent de la tête de la course rattrape un concurrent attardé et le suit de près.
Bleu (agité) : un concurrent de la tête de course cherche à doubler un pilote attardé. Ce dernier doit garder sa trajectoire et le laisser passer.

Vert : piste libre

National : signal du départ de course

A damiers noirs et blancs : signal d’arrêt à la fin de la course ou la fin des séances d’essai.
[align=center]Spécifique aux disciplines des courses sur pistes (speedway – grass-track)[/align]

Jaune avec une croix de Saint André noire (fixe) : annonce le dernier tour.
Présentation des drapeaux :

Drapeaux fixe

Drapeau agité en 8 :

Drapeau agité de haut en bas
FORMATION PRATIQUE
Les personnes titulaires du permis « A » ou du guidon d’or FFM sont dispensées de la partie pratique.
Elle porte sur :
- le démarrage de la moto,
- la conduite en slalom,
- la montée et descente des vitesses,
- l’accélération et le freinage,
- la conduite en tours de circuit comportant des obstacles et autres difficultés d’une enceinte sportive.
L’examen pratique débute par une vérification technique de la machine et de l’équipement du pilote assimilable à un contrôle technique effectué sur la majorité des épreuves.
Sur l’un de ces éléments (pilote moto ou quand) n’est pas conforme, le candidat ne pourra pas passer l’examen pratique.
Après cette vérification, le candidat participe à un échauffement d’une durée de 10 min sous la conduite de l’examinateur. L’examen pratique débute alors sous forme de 5 ateliers.
Une note égal ou supérieur a 14/20 est nécessaire pour réussir la pratique.
Le niveau requis de maîtrise de la moto ou du quad pour passer la formation pratique du CASM nécessite une expérience de pilotage permettant la préparation aux 5 ateliers suivants.
Atelier 1 : slalom lent décalé (4 points)
Atelier 2 : couloir avec changement de trajectoire (3 points)
Atelier 3 : Equilibre (4 points)
Atelier 4 : Slalom rapide et test drapeaux (4 points)
Atelier 5 : Accélération / freinage (5 points)
Petite note personnel :
Aprsè avoir passer le CASM, je peux vous dire que il ne faut vraiment pas s'inquièter pour cette épreuve, pour vous dire a la fin de l'épreuve théorique certaines personnes avait 15 fautes (alors que la limite était a 6) est tout le monde la eu quand même, je pense qu'il sont plus intéressé par le chèque et le fait qu'on prenne une licence par la suite que par ce que vont va produire la bas !!
